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Valerian Hayes | you can't claim something that has to be earned

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Directeur
Valerian Hayes
Valerian Hayes
Info & Co.
ÂGE : 31 Féminin France
MESSAGES POSTÉS : 270
JE SUIS : Administrateur
NOMBRE D'EQUUS : 368

PARCOURS : Cavalier Palier I
CHEVAL ATTRIBUÉ : Aucun.
RANG : Directeur du domaine
ÂGE DU PERSONNAGE : 34 ans

Valerian Hayes | you can't claim something that has to be earned Aawr

Fils de William Hayes, le fondateur d’Almara, Valerian Hayes est l’actuel directeur du domaine. Psychiatre connu et reconnu dans le milieu, il a passé une infime partie de son enfance au domaine de son père avant de partir vivre sur Paris, sa ville natale. Là-bas, pendant ses études il fait la rencontre de celle qui deviendra sa femme et la mère de leur fille, Liliska. Cette première vie s’achève brusquement après la mort de Lili dans un accident … tout s’effondre autour de lui et il décide alors de rouvrir Almara dans l’espoir d’y trouver, lui aussi, sans doute, une seconde chance.

Ce qui interpelle le plus chez Valerian est sa grande taille (1,91m). Il soigne son apparence et vous n’aurez sans doute jamais l’occasion de le croiser autrement que vêtu d’un smoking. Valerian est un homme particulier qui vous offrira rarement de juste milieu : soit vous l’adorerez, soit vous le détesterez. Il sait se montrer drôle si tant est que vous ayez son humour et restera toujours honnête, pour peu que vous le soyez aussi. D’un naturel calme, son assurance et ses certitudes ne manqueront pas de vous agacer parfois, mais soyez certain d’une chose : Valerian œuvrera toujours pour le bien de ses résidents, même si ces derniers ne sont pas toujours conscients de cela.

Egalement médecin de par sa formation, il est divorcé depuis presque 2 ans. Valerian habite au fond de l’aile ouest du 2eme étage, dans les anciens quartiers de son père, et possède également un appartement sur Paris, actuellement inhabité. Très secret concernant sa vie privée, Valerian prend soin d’en dissimuler le plus possible à son sujet. Pourquoi ? Pour se protéger bien sûr, mais surtout pour éviter les questions susceptibles de rouvrir des plaies trop fraichement cicatrisées.

Ancien cavalier de concours complet, les chevaux ne lui sont pas étrangers puisqu’il a connu une partie des chevaux accueillis par son père au domaine. Anciennement propriétaire d’un grand selle français nommé Tsar, Valerian la revendu après la mort de sa fille et depuis, le directeur n’a plus tellement remis le pied à l’étrier.

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JOUE ÉGALEMENT : Personne
CRÉDIT(S) : Val
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Posté le Ven 15 Jan - 23:44


Valerian Hayes
« Les erreurs ne se regrettent pas : elles s'assument »



Mon identité ...
NOM Hayes [A-I-ÈS]
PRÉNOM Valerian William Alanon [VA-LÉ-RIAN, A-LA-NONE]
DATE DE NAISSANCE 11/09/1984 (34 ans)
NATIONALITÉ Français, bien que beaucoup l’imagine anglais puisque William, son père, était lui-même anglais.

FAMILLE & RELATION
William Taddeus Hayes (Père) †
Alana de Clairvois (Mère) †
Lana Karazki-Hayes (Ex-Femme)
Liliska Karazki-Hayes (Fille) †

TAILLE 1,91m
CORPULENCE Elancé mais solide, gardez-vous bien de le bousculer.

CARACTÈRE EN QUELQUES MOTS
Patient, sérieux, protocolaire, distant. Tête à claque.

RANG / STATUT
Employé du Domaine | Directeur & Psychiatre

NIVEAU ÉQUESTRE
Valerian s’y connait bien en chevaux. Moins qu’Alessendro bien sûr – qui s’y connait mieux qu’Alessendro ? – mais Valerian sait quelques trucs à leur sujet. En digne fils de William et Alana, il fut très tôt mis en contact avec eux, et plus particulièrement ceux du domaine. Valerian continua de les côtoyer même après son départ d’Almara et il eut même son propre cheval, Tsar, un grand selle-français qu’il sortait en concours complet.


TYPE DE PARCOURS Parcours Cavalier
JE SOUHAITE UN CHEVAL Non


CÉLÉBRITÉ CHOISIE Lee Pace


Et si j'en disais plus ?

Parles-nous de tes origines. Qui étaient tes parents ?

Mon nom est Valerian William Alanon Hayes. C’est à ma mère et aux coutumes de sa famille que je dois ce prénom à rallonge : chez elle, il était d’usage de donner à son enfant le prénom de son père et de sa mère, en plus du sien … un peu comme chez les chevaux vous voyez, comme si déjà la vie me prédestinait à les avoir dans mon ombre, toujours. C’est en 1976 que William Taddeus Hayes, émérite psychologue anglais, fit la rencontre d’Alana d’Aubevois, devenue très tôt orpheline et amoureuse des chevaux, une passion qui les unissait mais qui, pourtant, ne fut pas suffisante pour les garder ensemble. Né de l’idéal d’Alana, le domaine d’Almara vit officiellement le jour en 1983, et c’est également à cette date-là qu’Alana et William se séparèrent, moins d’un an après l’ouverture du domaine. Pourquoi ? Disons simplement que la réalité n’est pas toujours telle qu’on l’espère et leur couple n’y survécut pas. Le destin, cependant, ne semblait pas en avoir terminé avec eux, car leurs derniers ébats laissèrent derrière eux un souvenir, 9 mois plus tard.


Comment s’est passée ton enfance ?

Malgré les circonstances et ma naissance, Alana et William restèrent séparés. Comment aurait-il pu en être autrement ? William ne pouvait décemment pas abandonner le domaine d’Almara dans lequel il avait mis une partie de sa fortune, et Alana ne supportait pas l’opprobre jeté dessus. C’est avec ma mère que je vécu dans un premier temps, dans un petit appartement parisien loin, bien loin du domaine normand et de sa verdure. Je ne voyais mon père que par convenance, de temps en temps, lors des rares visites d’Alana au domaine … car ma mère avait déjà compris ce que la vie finirait par m’apprendre : trop affairé à faire tourner son projet, mon père avait bien peu de temps à me consacrer, pour ne pas dire aucun. Lui en ai-je voulu ? A l’époque j’étais bien trop jeune pour comprendre, mais aujourd’hui avec le recul … oui, une part de moi lui en veut. Passionné, William s’affairait à venir en aide aux enfants des autres mais délaissait le sien. Comment ne pas lui en vouloir ?


Et ton adolescence ? Quels étaient tes projets, tes rêves ?

Est-on adolescent à 12 ans ? C’est à cet âge-là pourtant que mon enfance pris fin, de la plus brutale des manières. En janvier 1997, alors que ma mère cheminait sur le trottoir parisien, un camion glissa sur une plaque de verglas et la renversa. Elle fut tuée sur le coup et j’en réchappa de justesse. A ce stade, vous vous imaginez surement déjà la suite : avec mon père pour seul parent, je partis le rejoindre à Almara pour vivre avec lui, hein ? Et bien non. Vous vous souvenez lorsque je vous ai dit que la vie finirait par m’apprendre ce que ma mère savait déjà ? Et bien nous y sommes : loin de se trouver soudainement une âme de père, William m’envoya dans un internat parisien, prétextant l’absence de commodités et surtout d’écoles à proximité du domaine. La vérité ? M’est d’avis qu’il ne voulait pas s’importuner avec un gamin qu’il connaissait à peine et qui, jour après jour, n’aurait pas manquer de lui rappeler ce qu’il avait perdu. Sans doute par obligation plus que par affection, il m’accueillait au sein de son domaine les week ends et pendant les vacances. J’ai haï chacun de mes séjours à Almara, jalousant les résidents qui jouissait de l’attention de mon père, ceux-là même qui m’enviaient mon lien de parenté avec celui qu’ils rêvaient tous d’avoir comme père. J’ai détesté Almara, jusqu’à l’arrivée de Naomi qui rendit le domaine plus … attrayant. Elle était belle oui, mais ce n’était pas tout … comment l’expliquer ? Naturellement, alors que je n’avais jusqu’à présent jamais cherché à tisser de liens avec les résidents, je me suis rapproché d’elle et nous sommes devenu amis. Pourquoi elle ? Je ne sais pas … sans doute son histoire m’avait-elle touché. Parfois, il n’y a pas d’explications.

En grandissant, mes relations avec mon père ne s’améliorèrent pas et l’adolescence donna voix à bien des ressentiments que j’avais à l’égard de mon paternel. Parce que Naomi avait su percevoir en moi des prédispositions pour suivre les traces de mon père, et parce que mon orgueil me poussait à vouloir faire mieux que lui, en moi naquit le projet de devenir non pas psychologue mais psychiatre, jugeant le titre plus noble, plus légitime. Parce que mon nom ne manquait pas de résonner dans l’esprit des spécialistes, bien des portes s’ouvrirent pour moi, dont celle – entres autres – des écoles de médecines. Abandonnant définitivement Almara pour Paris, je quittai la demeure de mon père en 2003, laissant non sans regrets Naomi derrière-moi. S’en suivit 10 longues années d’études durant lesquelles Almara ne me vit plus ou presque. C’est durant ces années que je fis la rencontre de Lana, qui deviendrait plus tard ma femme.


Les as-tu atteints ? Si non, pourquoi ?

Ai-je réalisé mes rêves ? Pendant un temps oui. Je devins médecin puis psychiatre et comme Naomi me l’avait prédit, je me trouvai un certain talent pour cela. Ma situation était bonne et je gagnai bien ma vie – d’aucuns diraient même très bien – loin de l’ombre de mon père ou du moins le croyais-je. En 2007, Lana donna naissance à notre fille, Lili, qui aima très tôt les chevaux. L’inverse aurait été étonnant, n’est-ce pas ?

En 2008, mon père tomba malade. Il espéra longtemps me voir reprendre le flambeau et prendre la tête d’Almara, mais il y avait en moi, à cette époque, une force indomptable qui me poussais à prendre une autre voie que la sienne. Faute d’une tête pour le diriger, Almara ferma donc ses portes la même année, pensai-je pour toujours. Mon père mourut en 2012, laissant derrière-lui un héritage abandonné.

C’est en 2016, à l’aube de mes 32 ans, que ma vie bascula de nouveau, pour la seconde fois. Ma fille, Lili, tomba de son poney et l’accident la tua sur le coup, ou presque. Elle resta un moment dans le coma sans que nous puissions la réveiller – je sais de quoi je parle, vous vous souvenez ? J’ai été médecin avant d’être psychiatre – Sa mort dévasta mon couple et Lana ne surmonta jamais le drame. Tel un château de carte, tout s’effondra autour de moi. Lana et moi nous séparâmes, et parce j’avais besoin de changer de vie, je devins celui que vous connaissez aujourd’hui.


Comment as-tu entendu parlé du domaine d’Almara ?

Comment répondre convenablement à cette question ? J’ai toujours connu Almara, et je l’ai longtemps détesté. Si j’ai aujourd’hui dépassé cette rancœur, cela n’a longtemps pas été le cas. Etant le fils de William et d’Alana, les fondateurs du domaine, Almara est dans mon sang. Si je ne le connais pas aussi bien que Naomi ou même Alessendro, j’ai également ma part d’anecdotes à son sujet. Je connais son histoire depuis le commencement, qui peut en dire autant ?


Pourquoi as-tu fais le choix de le rejoindre ?

Quand tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens. Proverbe africain. Après la mort de Lili et ma séparation avec Lana, quelque chose en moi était perdue, égarée. Tout autour de moi me rappelait cette vie qui m’échappait désormais, il me fallait avancer, couper les ponts, tourner la page. Certains diront que je l’ai fait trop vite et peut-être ont-ils raison ; d’autres, plus mauvaises langues, prétendent que me suis tourné vers Almara par dépit, parce que je n’avais plus rien d’autre. Est-ce que c’est vrai ? Je n’en sais trop rien … j’avais toujours ma place à hôpital après tout, j’aurais pu continuer à vivre et à gagner ma vie, mais cela ne suffisait pas, ne suffisait plus. Restait au fond de moi ce désir commun que j’avais – bien malgré moi – avec mon père, celui de vouloir aider les autres … j’avais besoin de faire plus. Le déclic se fit ce soir-là, devant le box de la ponette qui avait involontairement tué ma fille. Invendable après l’accident, dans son regard planait pourtant une chose qui n’était pas irrémédiable : la peur. Il lui fallait un endroit pour l’apaiser et lui donner une nouvelle chance ; à elle, et à tous les autres. J’appelai Alessendro le soir même et c’est ainsi qu’en 2017, la machine d’Almara se relança.


Avais-tu déjà rencontré des chevaux avant ton arrivée ?

Oui, bien sûr. Tout petit déjà, j’ai été mis en contact avec ces animaux et en grandissant, une part de moi a gardé cette affection intacte. Pendant un temps, j’ai même eu mon propre cheval, Tsar, un grand selle français qui brillait en concours complet. Parce qu’elle voulait faire comme papa, ma fille a également eu sa propre ponette, celle-là même qui l’a faite tomber. J’ai revendu Tsar après la mort de Lili, mais j’ai emmené sa ponette avec moi à Almara. Qu’aurai-je pu en faire de toute manière ? Elle était invendable.


PHYSIQUE & PERSONNALITÉ Valerian est grand, c’est le moins que l’on puisse dire. Il en faut beaucoup pour l’ébranler, lui et son mètre quatre-vingt-onze. Bien qu’il ait été élevé par sa mère française, Valerian garde indéniablement des airs d’anglais : il est maniéré, souvent réservé, toujours ponctuelle et prend à cœur d’être élégant. En effet, Valerian soigne sa tenue : il est toujours rasé de près et vous aurez peu l’occasion de le voir autrement vêtu que d’un costume.

A première vue, Valerian n’est pas un homme très appréciable. Son air arrogant – qui n’est pas infondé – couplé à son orgueil relatif en braque plus d’un dès le départ, pourtant Valerian n’en demeure pas moins quelqu’un de bien, pour peu qu’on s’y attarde. Si ses méthodes ne sont pas toujours conventionnelles, elles sont toujours muées par la volonté de bien faire et de venir en aide. Réservé, il peut paraitre insaisissable du fait qu’il ne parle jamais de lui ou peu s’en faut. Son métier lui colle à la peau et loin de faire ami-ami avec ses patients, il prend soin de conserver une certaine distance avec eux … c’est notamment pour cela qu’il insiste sur le fait de vouvoyer ses résidents, qu’il n’appelle jamais par leur prénom. C’est presque une règle avec lui : pas de tutoiement, et ceux qui osent l’appeler par son prénom se comptent sur les doigts de la main.

Son air de monsieur-je-sais-tout pourrait être ridicule si les circonstances ne lui donnaient pas aussi souvent raison. Il y a, chez Valerian, cette particularité énervante d’avoir souvent raison – pas toujours ! – qui, couplé à un manque crucial de modestie, ne manque pas de le rendre tout à fait détestable. Malgré cela, Valerian garde des bons côtés, qui peuvent parfois mettre du temps à se montrer : sous cette carapace de narcissique se cache un homme sensible dont les blessures ne sont pas tout à fait guéries. Terre à terre, Valerian ne vous mentira jamais et sera toujours honnête avec vous. Bien qu’il ait le sens des affaires, Val n’est pas du genre à compter ses heures, et s’il peut sembler radin c’est parce qu’il pense à long terme : il aimerait qu’Almara prospère et dure dans le temps, bien après lui, et donc que le domaine soit autonome financièrement … ce qui pour l’heure est loin d’être gagné.

En ce qui concerne les chevaux, à l’instar d’Alessendro Valerian est de la vieille école et est plutôt sceptique quant aux nouvelles méthodes. Le cavalier qu’il est a encore beaucoup de choses à apprendre et cela n’est pas sans rapport avec cette assurance un peu trop grande dont il peut parfois faire preuve. Pas vraiment ouvert d’esprit, Valerian a encore beaucoup de chemin à parcourir.

PARTICULARITÉ(S) Tout comme son père avant lui, Valerian est connu dans son métier et il le sait. Si peu de gens connaissent son histoire, beaucoup savent quel genre d’homme il est et le considèrent comme un riche fils à papa prétentieux, imbu de sa personne mais malgré tout doué (les plus jaloux préfèrent dire chanceux et peut-être n’ont-ils pas tout à fait tort). D’autres le respectent pour ce qu’il fait, car les faits restent : Valerian a aidé – pour ne pas dire sauvé – beaucoup de gens par le passer et continue de le faire avec son programme à Almara … finalement, peut-être n’est-il pas la pourriture que tout le monde croit. Enfin, en digne représentant de la classe aisée qu’il est, Valerian possède une voiture de luxe. Quoi de mieux pour nourrir le cliché ?

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